Mieux vaut s'accrocher à la vie qu'à son volant
Les mentalités évoluent mais certains conducteurs ne veulent pas laisser le volant même s'ils ne sont pas en état de conduire.... Pourquoi ?
Fierté mal placée !
Sentiment d'invincibilité !
Et pourtant ?
La Sécurité routière vous propose 5 techniques pour résister et prendre le volant si vous estimez qu'il y a danger:
1 - La subtile injonction:
L'approche demande un timing parfait. Sachez tout d'abord repérer les signes : bâillements répétés, yeux qui se ferment un peu trop longtemps, réflexes plus lents, baisse de l'attention... Dès que vous voyez ces signes, n'hésitez plus : attaquez, bondissez et glissez-lui d'un ton sans appel : "Tu es d'accord que c'est mieux que je prenne le volant".
2 - Le faux prétexte:
Répétez plusieurs fois à intervalles réguliers : "Je ne me sens pas bien", avant de poursuivre crescendo "je ne me sens vraiment pas bien", "Ah ! J'ai mal au cœur !". Votre conducteur est sûrement aussi attaché à son volant qu'aux sièges de sa voiture. Quand il commence à froncer les sourcils et à vous regarder d'un air inquiet, faites-lui savoir que la seule place où vous n'êtes pas malade, c'est précisément au volant. Simple et efficace.
Le but de la manœuvre étant de parvenir à vos fins, vous ne devrez pas lésiner sur les moyens. Colère, culpabilité, tirez sur toutes les ficelles même les plus grosses. Dans cette véritable guerre d’usure, la technique consiste à ne rien lâcher et à faire feu de tout bois. Alternez du : "Mais enfin tu ne vas pas me dire que tu l’avais pas vu, ce camion ? Comment on ne peut pas voir un CAMION !" en passant par "Allez c’était sympa mais là c’est TROP. Arrête-toi, je descends." Vous n’avez que l’embarras du choix. Pas vraiment de tout repos mais efficace : de guerre lasse, pour avoir la paix, le conducteur finira par vous laisser le volant. C’est gagné.
4 - Le chantage:
Une technique simple, que certains qualifieront peut-être de « un peu fourbe ». Mais la fin justifie les moyens. Dites simplement : "Ecoute, je t’aime beaucoup. Mais tu n’es clairement pas en état de prendre le volant, c’est criant. Alors passe-le moi. Passe-le moi, sinon je te quitte sur ton répondeur le jour de ton anniversaire, je kidnappe ton chat, je mets du fromage coulant dans ta clim et pire, je te supprime de mon Facebook." Imparable.
5 - Le choc psychologique:
A n’utiliser qu’en dernier recours.
Il vous faut provoquer une réaction telle que votre conducteur, sous le choc, va s’arrêter pour avoir des explications. Adoptez un ton détaché pour lui dire par exemple : "Oh dis donc c’est Jean-Jacques qui m’a dit que t’étais adopté, tu le savais, toi ?", "Au fait dis-moi, ça te dérange pas que je cache un cadavre chez toi 2-3 jours le temps que ça se tasse ?", "J’ai été une femme, tu sais" (si vous êtes un homme, hein). Et en fonction de votre degré d’intimité avec le conducteur, vous pouvez également lui révéler que Brad Pote a trompé Angelina Belle… Dès que le conducteur s’arrête, profitez de l’occasion pour prendre le volant.
a savoir aussi qu'il faut toujours bien choisir ses route pour diminuer les risque d'accident dans les routes.
Rédigé par : Go Pneus | 02 avril 2014 à 17:28
J'oubliais une dernière option radicale pour les cas trop désespérés : mettre les clés de voiture dans une enveloppe à son adresse et les poster dans une boite à lettres. Obligation de prendre un taxi...
Rédigé par : coffre-fort A2P | 26 octobre 2012 à 08:38
Merci pour ce billet et les conseils qui vont avec.
Sinon, il y a également la solution d'installer un matelas dans le coffre et de pousser le conducteur dedans pour qu'il teste les ressorts
Rédigé par : coffre-fort ignifuge | 26 octobre 2012 à 08:34
Merci pour ces conseils !
En espérant que chaque conducteur les suive !
Aujourd'hui, il semble primordial de mobiliser les français face aux nombreux problèmes de la route.
Si chacun est plus attentif, ça garantit la sécurité de tous !
Rédigé par : Marion @sécurité au volant | 15 octobre 2012 à 17:48